une co-production des petites envolées du Théâtre de Privas et du Train Théâtre de Portes-les-Valence.
En salle quasiment comble, propice à la mise en scène et à l'acoustique recherchée, un montage scénographique dense et rigoureux pour suivre Monique Brun dans sa lecture et son chant d'un Ferré sinon inédit du moins peu connu.
Une lecture sélective comme coup de bêche en textes rares et inédits associés en puzzle significatif par la démarche créatrice de la comédienne/chanteuse.
Comme dialogue respectueux et intime avec Ferré poète... Ferré citoyen...
Ferré familier à cette chanteuse créatrice qui, parfois, nous a fait penser à Colette Magny...
Ferré-le-voisin-de-Jordi en ruelle monégasque, voisin qui, en cet été 1989, caressait Joan encore pelotonné dans le ventre de sa maman danseuse... Ferré sensible à cette vie naissante à laquelle il parlait... racontant, chantant...
L'intérêt de Ferrer pour la vie, surpris là comme en intime flagrant délit...
O.E.
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